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Allusions, Images et Symboles
2ème Trimestre 2025
10 - Ceux qui ont péri en jugement
Du 31 mai au 6 juin 2025
samedi après-midi
Lecture de la semaine:
Apo 6:12-17; ; ; ; ;
Verset à mémoriser:
« Ces choses leur sont arrivées pour servir d’exemples, et elles ont été écrites pour notre instruction, à nous qui sommes par- venus à la fin des siècles. Ainsi donc, que celui qui croit être debout prenne garde de tomber! » ( LSG).
La Bible est remplie de récits relatifs au peuple de Dieu, lesquels renvoient à des évènements futurs et renferment des clés essentielles pour nous permettre de saisir la « vérité présente ». En effet, nombre de ces récits préfigurent, avec des détails saisissants, les évènements de la fin des temps, nous offrant ainsi un socle élargi pour appréhender avec clarté les prophéties de Daniel et de l’Apocalypse. Sans jamais contrevenir à la liberté de conscience de chacun, Dieu a su orienter les évènements de manière à correspondre précisément aux prédictions formulées par les prophètes concernant les derniers jours. Certains de ces récits revêtent un caractère manifeste, le Nouveau Testament y faisant explicitement référence lorsqu’il décrit les évènements de la fin des temps: Sodome et Gomorrhe, le déluge, entre autres. D’autres, en revanche, requièrent une réflexion approfondie et une exploration minutieuse afin d’en extraire les vérités qui nous ont été transmises par la Parole de Dieu.
Au cours des prochaines semaines, nous nous pencherons sur plusieurs de ces récits clés afin de discerner ce qu’ils peuvent nous révéler à propos d’évènements tels que la seconde venue, le jugement d’avant la venue de Christ, la crise finale, et bien d’autres.
À travers tout cela, Christ apparait comme le centre, car Il se doit d’être tant le fondement que l’objectif ultime de tous nos efforts prophétiques.
Apo 6:12-17; ; ; ; ;
Verset à mémoriser:
« Ces choses leur sont arrivées pour servir d’exemples, et elles ont été écrites pour notre instruction, à nous qui sommes par- venus à la fin des siècles. Ainsi donc, que celui qui croit être debout prenne garde de tomber! » ( LSG).
La Bible est remplie de récits relatifs au peuple de Dieu, lesquels renvoient à des évènements futurs et renferment des clés essentielles pour nous permettre de saisir la « vérité présente ». En effet, nombre de ces récits préfigurent, avec des détails saisissants, les évènements de la fin des temps, nous offrant ainsi un socle élargi pour appréhender avec clarté les prophéties de Daniel et de l’Apocalypse. Sans jamais contrevenir à la liberté de conscience de chacun, Dieu a su orienter les évènements de manière à correspondre précisément aux prédictions formulées par les prophètes concernant les derniers jours. Certains de ces récits revêtent un caractère manifeste, le Nouveau Testament y faisant explicitement référence lorsqu’il décrit les évènements de la fin des temps: Sodome et Gomorrhe, le déluge, entre autres. D’autres, en revanche, requièrent une réflexion approfondie et une exploration minutieuse afin d’en extraire les vérités qui nous ont été transmises par la Parole de Dieu.
Au cours des prochaines semaines, nous nous pencherons sur plusieurs de ces récits clés afin de discerner ce qu’ils peuvent nous révéler à propos d’évènements tels que la seconde venue, le jugement d’avant la venue de Christ, la crise finale, et bien d’autres.
À travers tout cela, Christ apparait comme le centre, car Il se doit d’être tant le fondement que l’objectif ultime de tous nos efforts prophétiques.
La colère de l’Agneau
Lisez –17. Considérez les détails de la réaction de ces personnes face aux évènements de la fin du monde se déroulant soudainement. Que remarquez-vous à propos de leur réaction?
Il est intéressant de noter que les perdus ne crient pas « Qu’est-ce que c’est? » ou « Qui est derrière cela? » Ils semblent savoir ce qui se passe. Ils se réfèrent à Jésus comme « l’Agneau », ce qui implique qu’ils connaissent quelque chose de l’histoire de Christ. Ils semblent également conscients que « le grand jour de Sa colère est venu », et qu’ils se trouvent dans une position désespérée: « Qui peut subsister? » Avant la fin, l’évangile est porté à chaque nation sur terre (), et les messages des trois anges sont délivrés à toute la planète. Et pourtant, il y aura des personnes qui seront prises au dépourvu, non pas par manque d’information mais en raison de leur refus de croire et d’obéir. Ce sera la raison pour laquelle ces personnes seront perdues dans les derniers jours.
Lisez . Quelles leçons devrions-nous tirer de l’histoire de Noé?
Jésus utilise l’histoire du déluge pour nous avertir que Sa seconde venue surprendra beaucoup de gens. Sa seconde venue ne constituera point une surprise, de la même manière que le déluge n’a pas surpris le monde par manque d’information. Noé avait prêché pendant 120 ans à un monde qui refusait de croire. Ils savaient ce qui allait arriver. Ils n’ont tout simplement pas cru.
Pendant ce temps, de nombreuses personnes se consolent en se disant que le passage du temps signifie que les prophéties sont fausses. En utilisant l’histoire du déluge comme contexte, Pierre écrit que « dans les derniers jours, il viendra des moqueurs avec leurs railleries, marchant selon leurs propres convoitises, et disant: où est la promesse de son avènement? Car, depuis que les pères sont morts, tout demeure comme dès le commencement de la création » (). À mesure que les années passent, ce sentiment ne fera que croitre.
Dans l’expérience de chaque personne, la seconde venue de Jésus (ou dans certains cas, la troisième venue) n’est jamais qu’un moment après la mort, et nous savons tous combien la vie passe rapidement.
Comment cette perspective peut-elle nous aider à gérer le « retard »?
Lisez –17. Considérez les détails de la réaction de ces personnes face aux évènements de la fin du monde se déroulant soudainement. Que remarquez-vous à propos de leur réaction?
Il est intéressant de noter que les perdus ne crient pas « Qu’est-ce que c’est? » ou « Qui est derrière cela? » Ils semblent savoir ce qui se passe. Ils se réfèrent à Jésus comme « l’Agneau », ce qui implique qu’ils connaissent quelque chose de l’histoire de Christ. Ils semblent également conscients que « le grand jour de Sa colère est venu », et qu’ils se trouvent dans une position désespérée: « Qui peut subsister? » Avant la fin, l’évangile est porté à chaque nation sur terre (), et les messages des trois anges sont délivrés à toute la planète. Et pourtant, il y aura des personnes qui seront prises au dépourvu, non pas par manque d’information mais en raison de leur refus de croire et d’obéir. Ce sera la raison pour laquelle ces personnes seront perdues dans les derniers jours.
Lisez . Quelles leçons devrions-nous tirer de l’histoire de Noé?
Jésus utilise l’histoire du déluge pour nous avertir que Sa seconde venue surprendra beaucoup de gens. Sa seconde venue ne constituera point une surprise, de la même manière que le déluge n’a pas surpris le monde par manque d’information. Noé avait prêché pendant 120 ans à un monde qui refusait de croire. Ils savaient ce qui allait arriver. Ils n’ont tout simplement pas cru.
Pendant ce temps, de nombreuses personnes se consolent en se disant que le passage du temps signifie que les prophéties sont fausses. En utilisant l’histoire du déluge comme contexte, Pierre écrit que « dans les derniers jours, il viendra des moqueurs avec leurs railleries, marchant selon leurs propres convoitises, et disant: où est la promesse de son avènement? Car, depuis que les pères sont morts, tout demeure comme dès le commencement de la création » (). À mesure que les années passent, ce sentiment ne fera que croitre.
Dans l’expérience de chaque personne, la seconde venue de Jésus (ou dans certains cas, la troisième venue) n’est jamais qu’un moment après la mort, et nous savons tous combien la vie passe rapidement.
Comment cette perspective peut-elle nous aider à gérer le « retard »?
Noé l’évangéliste
Pierre nous rappelle que beaucoup seront mal préparés pour le retour de Christ parce qu’ils « oublient volontairement » () ce qui est arrivé lors du déluge.
Aujourd’hui, bien que le monde ait une mémoire collective d’un grand déluge (un nombre étonnant de cultures mondiales racontent l’histoire d’un déluge dévastateur, des Grecs anciens aux Mayas), l’histoire de Noé est aujourd’hui l’un des récits bibliques les plus ridiculisés. Comme prévu, le monde met de côté cette histoire comme un mythe, peu importe à quel point elle est clairement et explicitement décrite dans l’Ancien Testament et référencée plusieurs fois dans le Nouveau Testament.
Jésus a dit que la situation mondiale ressemblerait « aux jours de Noé » dans . Comparez ce passage avec –8. Quelles étaient les conditions morales qui ont conduit au déluge? Quels parallèles existent entre ces deux époques?
Il y a une autre leçon importante pour le reste du peuple de Dieu des derniers jours qui émerge d’une étude attentive. nous dit que Noé « construisit une arche pour sauver sa famille; …il condamna le monde, et devint héritier de la justice qui s’obtient par la foi ». Imaginez-vous prêcher pendant plus d’un siècle, avec pour seul résultat votre propre famille dans l’arche. Si Noé avait été un évangéliste moderne, nous pourrions être tentés de le considérer comme un échec: des décennies de prédication et sans aucun résultat tangible.
Heureusement, à l’heure actuelle, de nombreuses parties du monde sont très réceptives aux messages des trois anges. L’évangélisation – la prédication de notre message unique – se révèle incroyablement efficace dans de nombreux endroits, et beaucoup viennent à connaitre le Seigneur. Nous n’avons pas encore atteint le point où il n’y a aucun résultat, bien que nous ayons été informés que le moment viendra où « le temps de grâce prendra fin et la porte de la miséricorde se fer- mera. Cette seule et courte phrase: “celles qui étaient prêtes entrèrent avec lui dans la salle des noces, et la porte fut fermée”, nous conduit à travers le ministère final du Sauveur, jusqu’au moment où la grande œuvre du salut de l’homme sera consommée » (Ellen G. White, La tragédie des siècles, p. 428). D’ici là, nous avons un travail à faire en tant qu’église.
Comment pouvons-nous apprendre à ne pas nous décourager si nos efforts évangéliques personnels ne semblent pas porter beaucoup de fruits pour le moment? Pourquoi devons nous continuer nos efforts? (Voir .)
Pierre nous rappelle que beaucoup seront mal préparés pour le retour de Christ parce qu’ils « oublient volontairement » () ce qui est arrivé lors du déluge.
Aujourd’hui, bien que le monde ait une mémoire collective d’un grand déluge (un nombre étonnant de cultures mondiales racontent l’histoire d’un déluge dévastateur, des Grecs anciens aux Mayas), l’histoire de Noé est aujourd’hui l’un des récits bibliques les plus ridiculisés. Comme prévu, le monde met de côté cette histoire comme un mythe, peu importe à quel point elle est clairement et explicitement décrite dans l’Ancien Testament et référencée plusieurs fois dans le Nouveau Testament.
Jésus a dit que la situation mondiale ressemblerait « aux jours de Noé » dans . Comparez ce passage avec –8. Quelles étaient les conditions morales qui ont conduit au déluge? Quels parallèles existent entre ces deux époques?
Il y a une autre leçon importante pour le reste du peuple de Dieu des derniers jours qui émerge d’une étude attentive. nous dit que Noé « construisit une arche pour sauver sa famille; …il condamna le monde, et devint héritier de la justice qui s’obtient par la foi ». Imaginez-vous prêcher pendant plus d’un siècle, avec pour seul résultat votre propre famille dans l’arche. Si Noé avait été un évangéliste moderne, nous pourrions être tentés de le considérer comme un échec: des décennies de prédication et sans aucun résultat tangible.
Heureusement, à l’heure actuelle, de nombreuses parties du monde sont très réceptives aux messages des trois anges. L’évangélisation – la prédication de notre message unique – se révèle incroyablement efficace dans de nombreux endroits, et beaucoup viennent à connaitre le Seigneur. Nous n’avons pas encore atteint le point où il n’y a aucun résultat, bien que nous ayons été informés que le moment viendra où « le temps de grâce prendra fin et la porte de la miséricorde se fer- mera. Cette seule et courte phrase: “celles qui étaient prêtes entrèrent avec lui dans la salle des noces, et la porte fut fermée”, nous conduit à travers le ministère final du Sauveur, jusqu’au moment où la grande œuvre du salut de l’homme sera consommée » (Ellen G. White, La tragédie des siècles, p. 428). D’ici là, nous avons un travail à faire en tant qu’église.
Comment pouvons-nous apprendre à ne pas nous décourager si nos efforts évangéliques personnels ne semblent pas porter beaucoup de fruits pour le moment? Pourquoi devons nous continuer nos efforts? (Voir .)
L’Histoire de Sodome et Gomorrhe
Il y a une autre histoire clé de l’Ancien Testament à laquelle Pierre fait directement référence lorsqu’il décrit les évènements des derniers jours: la destruction de Sodome et Gomorrhe. Ces villes de la plaine sont devenues légendaires pour leur méchanceté et sont devenues le premier exemple de centres de population détruits par le feu venant du ciel.
Lisez –11, Jude 5–8, et Ézéchiel 16:46-50, et notez tous les détails.
Quelles étaient les conditions morales qui ont conduit à la destruction de ces villes, et quels parallèles pouvons-nous établir aujourd’hui?
L’avertissement adressé aux habitants des derniers jours de cette planète à travers le récit de Sodome et Gomorrhe est clair: à la fin, les méchants seront également détruits par le feu, comme décrit si clairement dans Apocalypse 20. Le péché est remarquablement trompeur en ce qu’il nous aveugle sur l’état de notre propre cœur, voilant nos transgressions sous une couche d’auto-approbation, tandis que la méchanceté perpétrée par d’autres reste souvent évidente pour nous. Dans le même chapitre où Dieu parle de l’amour qu’Il a déversé sur Sa nation, Il doit également avertir la nation que, bien qu’elle n’ait pas commis les mêmes péchés (), elle est en réalité devenue plus méchante que Sodome. Israël avait été « comme une prostituée » (), commettant l’infidélité spirituelle. Imaginez la surprise du peuple de Dieu lorsqu’il entendit qu’il était plus méchant que ceux qui étaient légendaires pour leur méchanceté. Ce n’est rien de nouveau, non seulement pour l’ancien Israël mais pour toute l’humanité. Dans –32, Paul présente une longue liste de maux humains qui peuvent aussi servir de titres dans les journaux d’aujourd’hui. La description par Paul du péché des Gentils n’était pas destinée à créer des sentiments de supériorité parmi les Juifs, mais afin que le peuple de Dieu puisse enfin comprendre la gravité de ses propres péchés.
Nathan fit la même chose lorsqu’il parla à David: il raconta l’histoire d’un homme riche qui avait volé un agneau à un pauvre homme. Cette histoire « enflamma » la colère de David (2 Sam 12:5), car l’injustice semblait évidente; même alors, il fallut la déclaration de Nathan, « Tu es cet homme! » (2 Sam 12:7) pour que David se reconnaisse dans l’histoire. Il est important de se rappeler que la Bible ne s'adresse pas principalement au monde extérieur mais au peuple de Dieu lui-même. Lorsque nous voyons les péchés odieux des autres décrits dans un passage comme Apocalypse 13 ou 17, c’est un avertissement que nous aussi, nous pouvons tomber dans le même piège.
Il y a une autre histoire clé de l’Ancien Testament à laquelle Pierre fait directement référence lorsqu’il décrit les évènements des derniers jours: la destruction de Sodome et Gomorrhe. Ces villes de la plaine sont devenues légendaires pour leur méchanceté et sont devenues le premier exemple de centres de population détruits par le feu venant du ciel.
Lisez –11, Jude 5–8, et Ézéchiel 16:46-50, et notez tous les détails.
Quelles étaient les conditions morales qui ont conduit à la destruction de ces villes, et quels parallèles pouvons-nous établir aujourd’hui?
L’avertissement adressé aux habitants des derniers jours de cette planète à travers le récit de Sodome et Gomorrhe est clair: à la fin, les méchants seront également détruits par le feu, comme décrit si clairement dans Apocalypse 20. Le péché est remarquablement trompeur en ce qu’il nous aveugle sur l’état de notre propre cœur, voilant nos transgressions sous une couche d’auto-approbation, tandis que la méchanceté perpétrée par d’autres reste souvent évidente pour nous. Dans le même chapitre où Dieu parle de l’amour qu’Il a déversé sur Sa nation, Il doit également avertir la nation que, bien qu’elle n’ait pas commis les mêmes péchés (), elle est en réalité devenue plus méchante que Sodome. Israël avait été « comme une prostituée » (), commettant l’infidélité spirituelle. Imaginez la surprise du peuple de Dieu lorsqu’il entendit qu’il était plus méchant que ceux qui étaient légendaires pour leur méchanceté. Ce n’est rien de nouveau, non seulement pour l’ancien Israël mais pour toute l’humanité. Dans –32, Paul présente une longue liste de maux humains qui peuvent aussi servir de titres dans les journaux d’aujourd’hui. La description par Paul du péché des Gentils n’était pas destinée à créer des sentiments de supériorité parmi les Juifs, mais afin que le peuple de Dieu puisse enfin comprendre la gravité de ses propres péchés.
Nathan fit la même chose lorsqu’il parla à David: il raconta l’histoire d’un homme riche qui avait volé un agneau à un pauvre homme. Cette histoire « enflamma » la colère de David (2 Sam 12:5), car l’injustice semblait évidente; même alors, il fallut la déclaration de Nathan, « Tu es cet homme! » (2 Sam 12:7) pour que David se reconnaisse dans l’histoire. Il est important de se rappeler que la Bible ne s'adresse pas principalement au monde extérieur mais au peuple de Dieu lui-même. Lorsque nous voyons les péchés odieux des autres décrits dans un passage comme Apocalypse 13 ou 17, c’est un avertissement que nous aussi, nous pouvons tomber dans le même piège.
Le Juge de toute la terre
Juste avant la destruction de Sodome, il y a une histoire curieuse qui se déroule dans les plaines de Mamré. Dieu apparait à Abraham, accompagné de deux anges. Lorsqu’Abraham les voit, il invite les visiteurs célestes à un repas, et c’est à ce moment que Dieu promet à Abraham et à Sarah qu’ils auront un fils dont la généalogie aboutira au Messie. Jésus est effectivement issu de la lignée d’Abraham (voir Gal 3:16). Ensuite, l’histoire se tourne soudainement vers la question des villes impies de la plaine.
Lisez . Que pouvons-nous apprendre sur le caractère de Dieu et la manière dont Il envisage de résoudre le problème du mal sur notre planète à partir de ces versets?
Dieu ne nous doit pas d’explication, mais Il choisit de ne pas voiler Ses motifs et Ses plans à la race humaine. « En vérité, le Seigneur Dieu ne fait rien sans révéler Son secret à Ses serviteurs les prophètes » (). Avant de détruire Sodome et Gomorrhe, Il déclare que la seule chose juste à faire est d’informer Abraham de ce qui est sur le point d’arriver, de ce qu’il peut bientôt s’attendre à voir. Dieu cause avec Abraham pendant que les deux anges se rendent dans la ville impie pour appeler ceux qui écouteront leur avertissement. On ne peut s’empêcher de penser aux anges prophétiques qui accomplissent la même tâche dans les derniers jours, appelant les membres du peuple de Dieu vivant à Babylone à sortir d’elle (–12; ). Alors que le dernier avertissement est donné, Dieu discute avec Abraham de ce qui est sur le point d’arriver, et Il se soumet volontiers aux questions du patriarche. « Loin de Toi de faire une telle chose que de faire mourir le juste avec le méchant », dit Abraham, « le Juge de toute la terre ne ferait-Il pas justice? » (). Abraham n’examine pas seule- ment le cas de Sodome, mais aussi le caractère de Dieu. De même, avant la fin du monde, Dieu ouvre les livres du ciel (; –15) et nous permet d’examiner les preuves avant qu’Il ne fasse finalement descendre le feu sur la terre. C’est-à-dire que nous aurons mille ans pour avoir les réponses aux questions qui, pour l’instant, restent sans réponse.
Avant que le Seigneur ne fasse tomber le jugement final sur les perdus, Il nous donne mille ans pour comprendre ce qui arrivera à qui et pourquoi. Qu’est-ce que cela nous dit sur Son caractère et sur la manière dont Il est ouvert à l’examen par des êtres créés des êtres entièrement dépendants de Lui pour leur existence – et qui n’ont aucun droi t inhérent de connaitre ces choses?
Juste avant la destruction de Sodome, il y a une histoire curieuse qui se déroule dans les plaines de Mamré. Dieu apparait à Abraham, accompagné de deux anges. Lorsqu’Abraham les voit, il invite les visiteurs célestes à un repas, et c’est à ce moment que Dieu promet à Abraham et à Sarah qu’ils auront un fils dont la généalogie aboutira au Messie. Jésus est effectivement issu de la lignée d’Abraham (voir Gal 3:16). Ensuite, l’histoire se tourne soudainement vers la question des villes impies de la plaine.
Lisez . Que pouvons-nous apprendre sur le caractère de Dieu et la manière dont Il envisage de résoudre le problème du mal sur notre planète à partir de ces versets?
Dieu ne nous doit pas d’explication, mais Il choisit de ne pas voiler Ses motifs et Ses plans à la race humaine. « En vérité, le Seigneur Dieu ne fait rien sans révéler Son secret à Ses serviteurs les prophètes » (). Avant de détruire Sodome et Gomorrhe, Il déclare que la seule chose juste à faire est d’informer Abraham de ce qui est sur le point d’arriver, de ce qu’il peut bientôt s’attendre à voir. Dieu cause avec Abraham pendant que les deux anges se rendent dans la ville impie pour appeler ceux qui écouteront leur avertissement. On ne peut s’empêcher de penser aux anges prophétiques qui accomplissent la même tâche dans les derniers jours, appelant les membres du peuple de Dieu vivant à Babylone à sortir d’elle (–12; ). Alors que le dernier avertissement est donné, Dieu discute avec Abraham de ce qui est sur le point d’arriver, et Il se soumet volontiers aux questions du patriarche. « Loin de Toi de faire une telle chose que de faire mourir le juste avec le méchant », dit Abraham, « le Juge de toute la terre ne ferait-Il pas justice? » (). Abraham n’examine pas seule- ment le cas de Sodome, mais aussi le caractère de Dieu. De même, avant la fin du monde, Dieu ouvre les livres du ciel (; –15) et nous permet d’examiner les preuves avant qu’Il ne fasse finalement descendre le feu sur la terre. C’est-à-dire que nous aurons mille ans pour avoir les réponses aux questions qui, pour l’instant, restent sans réponse.
Avant que le Seigneur ne fasse tomber le jugement final sur les perdus, Il nous donne mille ans pour comprendre ce qui arrivera à qui et pourquoi. Qu’est-ce que cela nous dit sur Son caractère et sur la manière dont Il est ouvert à l’examen par des êtres créés des êtres entièrement dépendants de Lui pour leur existence – et qui n’ont aucun droi t inhérent de connaitre ces choses?
Le jugement d’avant la venue de Christ
La description du jugement dans Daniel 7 nous donne un aperçu derrière le voile; une opportunité impressionnante de voir comment Dieu résout le problème du péché tout en sauvant ceux qui souhaitent vivre dans une relation d’alliance avec Lui.
Lisez la description de l’instruction du jugement fournie dans . Quel est le principal objectif de cette phase du jugement? Quel est le verdict rendu à la fin du processus? Que nous dit cela sur le plan du salut?"
Il ne fait aucun doute que l’humanité est jugée par Dieu. nous assure que « Dieu amènera toute œuvre en jugement », et Paul nous rappelle que nous ne devrions pas nous juger les uns les autres, car « nous comparaitrons tous devant le tribunal de Christ » (Rom 14:10). Dieu, bien sûr, n’a pas besoin de dossiers pour savoir qui est sauvé ou perdu, mais les anges – qui ont examiné le plan du salut depuis le début (1 Pi 1:12) – auraient naturellement des questions. Ils ont été témoins de la rébellion de Satan et ont vu un tiers des anges expulsés du ciel (Apo 12:4) – et maintenant Dieu nous introduit en Sa présence. Dieu ouvre les livres et permet aux saints de tout voir.
L’histoire de l’intercession d’Abraham pour Sodome et Gomorrhe, un type de jugement, nous offre un aperçu important du jugement en général. Les péchés de Sodome étaient clairement en cours d’examen; Dieu mentionne que la méchanceté de la ville avait donné lieu à une grande clameur contre elle ().
Mais ce n’étaient pas seulement Sodome et Gomorrhe qui ont été examinées avant leur destruction. Dieu a également ouvert la porte à Abraham pour qu’il étudie si Dieu agissait justement dans Sa décision de détruire les méchants.
Pendant ce temps, quelqu’un apparait au milieu du jugement céleste, dans Daniel 7, qui n’est personne d’autre que Jésus, « le Fils de l’homme » (Dan 7:13, voir aussi ), dont l’apparition est la seule raison pour laquelle ce jugement est « fait en faveur des saints du Très-Haut » (Dan 7:22). Sa parfaite justice seule suffit pour que le jugement soit prononcé en faveur de Son peuple.
Imaginez-vous en jugement avec tous vos secrets exposés devant notre Dieu saint. Quel est votre seul espoir à ce moment du jugement? (Voir la leçon de vendredi.)
La description du jugement dans Daniel 7 nous donne un aperçu derrière le voile; une opportunité impressionnante de voir comment Dieu résout le problème du péché tout en sauvant ceux qui souhaitent vivre dans une relation d’alliance avec Lui.
Lisez la description de l’instruction du jugement fournie dans . Quel est le principal objectif de cette phase du jugement? Quel est le verdict rendu à la fin du processus? Que nous dit cela sur le plan du salut?"
Il ne fait aucun doute que l’humanité est jugée par Dieu. nous assure que « Dieu amènera toute œuvre en jugement », et Paul nous rappelle que nous ne devrions pas nous juger les uns les autres, car « nous comparaitrons tous devant le tribunal de Christ » (Rom 14:10). Dieu, bien sûr, n’a pas besoin de dossiers pour savoir qui est sauvé ou perdu, mais les anges – qui ont examiné le plan du salut depuis le début (1 Pi 1:12) – auraient naturellement des questions. Ils ont été témoins de la rébellion de Satan et ont vu un tiers des anges expulsés du ciel (Apo 12:4) – et maintenant Dieu nous introduit en Sa présence. Dieu ouvre les livres et permet aux saints de tout voir.
L’histoire de l’intercession d’Abraham pour Sodome et Gomorrhe, un type de jugement, nous offre un aperçu important du jugement en général. Les péchés de Sodome étaient clairement en cours d’examen; Dieu mentionne que la méchanceté de la ville avait donné lieu à une grande clameur contre elle ().
Mais ce n’étaient pas seulement Sodome et Gomorrhe qui ont été examinées avant leur destruction. Dieu a également ouvert la porte à Abraham pour qu’il étudie si Dieu agissait justement dans Sa décision de détruire les méchants.
Pendant ce temps, quelqu’un apparait au milieu du jugement céleste, dans Daniel 7, qui n’est personne d’autre que Jésus, « le Fils de l’homme » (Dan 7:13, voir aussi ), dont l’apparition est la seule raison pour laquelle ce jugement est « fait en faveur des saints du Très-Haut » (Dan 7:22). Sa parfaite justice seule suffit pour que le jugement soit prononcé en faveur de Son peuple.
Imaginez-vous en jugement avec tous vos secrets exposés devant notre Dieu saint. Quel est votre seul espoir à ce moment du jugement? (Voir la leçon de vendredi.)
Réflexion avancée:
Lisez Ellen G. White, « Le déluge », pp. 101, 102, dans Patriarches et prophètes. «
Le grand prêtre n’arrivait pas à se défendre. Il ne prétendait pas qu’Israël n’était pas coupable. Couvert de vêtements sales – symbole des péchés du peuple dont il s’est chargé — Josué, le représentant de ce dernier, se tient debout devant l’ange. Il confesse toutes ses transgressions en exprimant la repentance et l’humiliation de leurs auteurs. Il s’en remet au Rédempteur qui pardonne, et il invoque avec foi les promesses divines. » – Ellen G. White, Prophètes et rois, p. 394.
« Les accusations de Satan contre ceux qui recherchent le Seigneur ne sont pas provoquées par sa haine du péché. Il se réjouit au contraire des défauts de caractère des chrétiens, car il sait que seule la transgression de la loi divine lui assurera tout pouvoir sur eux.
Ses accusations sont uniquement inspirées par son inimitié pour le Sauveur. Mais, par le plan du salut, Jésus supprime l’em- prise de Satan sur la famille humaine, et il la délivre de sa puissance. » – Ellen G. White, Prophètes et rois, p. 395.
« Il est impossible à l’homme, par ses propres forces, de tenir tête aux accu- sations de l’ennemi. Debout devant Dieu, vêtu de vêtements sales, il confesse ses péchés. Alors Jésus, notre avocat, plaide efficacement en sa faveur. Il défend sa cause, et, grâce au sacrifice du Calvaire, il triomphe de l’accusateur. Sa parfaite obéissance à la loi divine lui a donné tout pouvoir dans le ciel et sur la terre, et il supplie son Père d’accorder sa miséricorde au pécheur et de le réconcilier avec lui. » – Ellen G. White, Prophètes et rois, p. 396.
Discussion:
1) Jésus a dit à Ses disciples qu’ils étaient dans le monde, mais non du monde. (Voir , –16.) Comment équilibrons-nous notre responsabilité d’évangéliser le monde avec la nécessité de nous garder « sans tache du monde »? ().
2) Que nous enseigne le ministère public de Noé avant le déluge sur le fonctionnement du grand conflit? De quelles manières jouons-nous le même rôle aujourd’hui?
3)Avant de dévorer les méchants par le feu du ciel (comme Il l’a fait avec Sodome), Dieu les ressuscite et permet à Satan de travailler avec eux pendant un court moment (). Quelles raisons pouvez-vous envisager pour que ce soit une étape nécessaire avant que Dieu remette tout en ordre?
4) En considérant les histoires que nous avons étudiées cette semaine, quels avertissements trouvez-vous pour votre propre vie? Que vous enseignent ces histoires sur votre espérance en Christ?
Lisez Ellen G. White, « Le déluge », pp. 101, 102, dans Patriarches et prophètes. «
Le grand prêtre n’arrivait pas à se défendre. Il ne prétendait pas qu’Israël n’était pas coupable. Couvert de vêtements sales – symbole des péchés du peuple dont il s’est chargé — Josué, le représentant de ce dernier, se tient debout devant l’ange. Il confesse toutes ses transgressions en exprimant la repentance et l’humiliation de leurs auteurs. Il s’en remet au Rédempteur qui pardonne, et il invoque avec foi les promesses divines. » – Ellen G. White, Prophètes et rois, p. 394.
« Les accusations de Satan contre ceux qui recherchent le Seigneur ne sont pas provoquées par sa haine du péché. Il se réjouit au contraire des défauts de caractère des chrétiens, car il sait que seule la transgression de la loi divine lui assurera tout pouvoir sur eux.
Ses accusations sont uniquement inspirées par son inimitié pour le Sauveur. Mais, par le plan du salut, Jésus supprime l’em- prise de Satan sur la famille humaine, et il la délivre de sa puissance. » – Ellen G. White, Prophètes et rois, p. 395.
« Il est impossible à l’homme, par ses propres forces, de tenir tête aux accu- sations de l’ennemi. Debout devant Dieu, vêtu de vêtements sales, il confesse ses péchés. Alors Jésus, notre avocat, plaide efficacement en sa faveur. Il défend sa cause, et, grâce au sacrifice du Calvaire, il triomphe de l’accusateur. Sa parfaite obéissance à la loi divine lui a donné tout pouvoir dans le ciel et sur la terre, et il supplie son Père d’accorder sa miséricorde au pécheur et de le réconcilier avec lui. » – Ellen G. White, Prophètes et rois, p. 396.
Discussion:
1) Jésus a dit à Ses disciples qu’ils étaient dans le monde, mais non du monde. (Voir , –16.) Comment équilibrons-nous notre responsabilité d’évangéliser le monde avec la nécessité de nous garder « sans tache du monde »? ().
2) Que nous enseigne le ministère public de Noé avant le déluge sur le fonctionnement du grand conflit? De quelles manières jouons-nous le même rôle aujourd’hui?
3)Avant de dévorer les méchants par le feu du ciel (comme Il l’a fait avec Sodome), Dieu les ressuscite et permet à Satan de travailler avec eux pendant un court moment (). Quelles raisons pouvez-vous envisager pour que ce soit une étape nécessaire avant que Dieu remette tout en ordre?
4) En considérant les histoires que nous avons étudiées cette semaine, quels avertissements trouvez-vous pour votre propre vie? Que vous enseignent ces histoires sur votre espérance en Christ?
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