Leçon de l'École du Sabbat
 
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L’Évangile selon Jean
2 - Signes de Sa divinité

du 5 au 11 oct.

Lecture de la semaine:
Jn 6:1-15
,
Esa 53:4-6
,
1 Cor 5:7
,
Jn 6:26-36
,
Jn 9:1-41
;
1 Cor 1:26-29
; Jn 11

Verset à mémoriser:
« Jésus lui dit: Je suis la résurrection et la vie. Celui qui croit en moi vivra, quand même il serait mort; et quiconque vit eLt croit en moi ne mourra jamais. Crois-tu cela? » (
Jean 11:25
, 26).

La Bible est claire que Jésus-Christ est le Fils éternel, un avec le Père, non dérivé et incréé. Jésus est le Créateur de toutes choses (
Jn 1:1-3
). Ainsi, Jésus avait toujours existé; il n’y a jamais eu un
moment où Il n’a pas existé. Bien que Jésus soit venu dans ce monde et ait pris sur Lui notre humanité, Il avait toujours gardé Sa divinité, et à des moments précis, Jésus avait dit et fait des choses qui révélaient cette divinité.
Cette vérité était importante pour Jean, et c’est pourquoi, en racontant certains des miracles de Jésus, Jean les avait utilisés pour indiquer Sa divi- nité. Jésus n’avait pas seulement dit des choses qui révélaient Sa divinité, mais Il avait aussi soutenu Ses paroles par des œuvres qui manifestaient Sa divinité.
La leçon de cette semaine se penche sur trois des plus grands signes de la divinité de Jésus. Ce qui est frappant est que dans tous les trois cas, cer- taines personnes n’avaient pas cru au miracle ou n’en avaient pas perçu la signification. C’était un temps où certains s’étaient détournés de Jésus. Au même moment, d’autres s’étaient plongés davantage dans l’aveuglement. D’autres encore en ont fait une occasion pour comploter la mort de Jésus. Malgré cela, d’autres y avaient vu des signes que Jésus est le Messie.
L’Évangile selon Jean
Nourrir cinq mille personnes

Dans
Jean 6:4
, 5, l’apôtre s’efforce d’affirmer que le moment de la multiplication des pains était proche de la Pâque. La Pâque était une commémoration de la délivrance d’Israël d’Égypte. L’agneau pascal avait pris la place des premiers-nés d’Israël. Ce sacri- fice symbolisait la mort de Jésus en notre faveur. Sur la croix, le châtiment que nous méritions à cause de nos péchés était tombé sur Jésus. Christ, notre Pâque, fut immolé pour nous (
1 Cor 5:7
).
« Voyez l’Être sans péché écrasé sous la culpabilité du monde; la face de son Père se voile; son cœur se brise; il expire. Ce grand sacrifice fut consenti pour racheter l’homme perdu. » Ellen G. White, La tragédie des siècles, p. 476.
Lisez
Jean 6:1-14
. Quels parallèles peut-on trouver entre Jésus et Moïse dans ce passage? C’est-à-dire, quel acte Jésus avait-il posé, ce qui aurait dû rappeler au peuple la délivrance que leurs ancêtres avaient reçue par le ministère de Moïse? ___________________________________________________ _______
___________________________________________________ _______
De nombreux détails de cette histoire placent Jésus en parallèle avec Moïse dans l’Exode. Le temps de la Pâque (
Jn 6:4
) indique la grande délivrance de l’Égypte. Jésus monta sur une montagne (
Jn 6:3
), tout comme Moïse était monté sur le mont Sinaï. Jésus mit Philippe à l’épreuve (
Jn 6:5
, 6), tout comme les Israélites avaient été éprouvés dans le désert. La multiplication des pains (Jn 6 :11), rappelle la manne. Le ramassage des restes de la nourriture (
Jn 6:12
), rappelle le ramassage de la manne par les Israélites. Douze paniers de restes furent ramassés (
Jn 6:13
), le même nombre que les douze tribus d’Israël. Et les gens dirent que Jésus est le prophète qui devrait venir dans le monde (
Jn 6:14
), ce qui est parallèle au « prophète comme Moïse », prédit dans
Deutéronome 18:15
. Tout cela indique que Jésus était le nouveau Moïse, venu pour délivrer Son peuple.
Ainsi, Jean montre Jésus non seulement en train de faire des signes et des prodiges, mais aussi des signes et des prodiges qui, dans leur contexte, auraient dû avoir une signification particulière pour le peuple juif. Il les dirigeait, en substance, vers Sa propre divinité.
Dimanche
Lisez
Esa 53:4-6
et 1 Pi 2:24. Quelle grande vérité ces textes enseignent-ils au sujet de Jésus en tant qu’Agneau de Dieu? Comment Sa divinité est-elle liée à cette vérité, et pourquoi cette vérité est-elle la vérité la plus importante que nous puissions jamais connaitre?
L’Évangile selon Jean
« Celui-ci est vraiment le prophète »

Lisez
Jean 6:14
, 15, 26-36. Comment les gens avaient-ils réagi à Son miracle, et comment Jésus l’avait-Il utilisé pour essayer de leur enseigner qui Il était? _______________________________________________________________
_______________________________________________________________
Les Judéens attendaient un messie terrestre qui les délivrerait de l’oppression de l’Empire romain. Deux des choses les plus difficiles en temps de guerre sont le fait de nourrir les troupes et d’apporter des soins aux blessés (et aux morts). Par Ses miracles, Jésus avait montré qu’Il pouvait faire les deux.
Mais ce n’était ni la raison de Sa venue, ni le but de Son miracle. Au contraire, le récit de la multiplication des pains donnait l’occasion d’illustrer que Jésus est le Pain de vie, que Dieu Lui-même est descendu du ciel. « Je suis le pain de vie », dit-il. « Celui qui vient à moi n’aura jamais faim » (
Jn 6:35
, LSG).
C’est la première des sept « Je suis » de l’Évangile de Jean, où le verbe être dans « Je suis » forme un prédicat avec ce qui suis: (« le pain de vie »,
Jn 6:35
; « la lumière du monde »,
Jn 8:12
; « la porte »,
Jn 10:7
, 9; « le bon berger »
Jn 10:11
, 14; « la résurrection et la vie »,
Jn 11:25
; « le chemin, la vérité et la vie »,
Jn 14:6
; « le vrai cep »,
Jn 15:1
, 5). Chacune de ces affirmations indique une vérité importante au sujet de Jésus. Les déclarations « Je suis » renvoient à Exode 3, où Dieu se présenta à Moïse comme étant le grand JE SUIS (com- parez à
Jn 8:58
). Jésus est ce grand JE SUIS. Mais le peuple n’avait pas pu reconnaitre tout cela.
« Ces mécontents se demandaient: Si Jésus était capable d’accomplir des œuvres aussi étonnantes que celles dont ils avaient été les témoins, pourquoi ne procurait-il pas santé, force, richesse au peuple tout entier, et en plus la liberté politique, la puissance et les honneurs? Ils n’arrivaient pas à comprendre pour- quoi, tout en se disant l’Envoyé de Dieu, il refusait d’être le roi d’Israël. Pour eux, il s’agissait d’un mystère impénétrable. Son refus était mal interprété. Certains en conclurent qu’il n’osait pas revendiquer ses titres parce qu’il avait des doutes sur le caractère divin de sa mission. Leurs cœurs s’étant ouverts à l’incrédulité, la semence jetée par Satan portait son fruit de malentendus et de défection. » Ellen G. White, Jésus-Christ, p. 375.
Ils recherchaient un avantage matériel au lieu d’une vérité qui dure jusqu’à la vie éternelle. C’est un piège auquel nous sommes tous potentiellement confron- tés si nous ne faisons pas attention.
LunDi
Comment pouvons-nous éviter de nous laisser entrainer dans les choses matérielles au détriment du spirituel?
L’Évangile selon Jean
La guérison de l’aveugle: 1re partie

Lisez
Jean 9:1-16
. Selon les disciples, quelle était la cause de la cécité de cet
homme, et comment Jésus avait-Il corrigé leurs fausses idées? _______________________________________________________________________
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Les disciples établissaient un lien entre la maladie et le péché. Un certain nombre de passages de l’Ancien Testament pointent dans cette même direc- tion (
Ex 20:5
,
2 R 5:15-27
,
2 R 15:5
, 2 Chr 26:16-21), mais l’histoire de Job aurait dû inciter à la prudence quant à savoir si un tel lien est toujours le cas.
Jésus expliqua les choses clairement, ne niant pas le lien entre le péché et la souffrance, mais dans ce cas, Il indiqua un but plus élevé, selon lequel Dieu sera glorifié par la guérison. Le récit contient certaines affinités avec l’histoire de la création, celle de la formation du premier homme par Dieu à partir de la poussière de la terre (
Gn 2:7
), tout comme Jésus utilisa la terre pour donner à l’aveugle ce qui lui manquait depuis le ventre de sa mère.
Dans Matthieu, Marc et Luc, les histoires de miracles suivent un schéma commun: une expression du problème, le fait d’amener l’individu à Jésus, la guérison, et la reconnaissance de la guérison en louant Dieu.
Dans l’histoire de Jean 9, cette séquence prend fin dans
Jean 9:7
. Mais, en tant que caractéristique propre à Jean, la signification du miracle devient le point de discussion beaucoup plus large, conduisant à une longue interaction entre l’homme guéri et les chefs religieux. Cette discussion saisissante s’ar- ticule autour de deux paires de concepts entrelacés et contrastés: le péché/les œuvres de Dieu et la cécité/la vue.
Le narrateur ne dit au lecteur qu’à partir de
Jean 9:14
que Jésus avait fait cette guérison le jour du sabbat, ce qui, selon la tradition, et non la Bible, était une violation du sabbat. Et ainsi, Il fut considéré comme un transgresseur du Sabbat par les Pharisiens. Leur conclusion était qu’Il n’était pas de Dieu parce qu’ils soutenaient qu’« Il n’observe pas le sabbat ». Mais d’autres avaient trouvé troublant le fait qu’un pécheur puisse faire de tels miracles (
Jn 9:16
).
La discussion est loin d’être terminée, mais déjà une division apparait. L’aveugle devient de plus en plus éclairé sur qui est Jésus, mais les chefs religieux deviennent de plus en plus confus ou aveugles quant à Sa véritable identité.

Que devrait nous dire cette histoire sur les dangers d’être aveuglés par nos propres croyances et traditions au point de passer à côté des vérités impor- tantes sous nos yeux?
L’Évangile selon Jean
La guérison de l’aveugle: 2e partie

Lisez
Jean 9:17-34
. Quelles questions les dirigeants avaient-ils posées, et comment l’aveugle avait-il réagi?
Cette longue section de Jean 9 est la seule partie de Jean où Jésus n’est pas l’acteur principal sur la scène, bien qu’Il soit certainement le sujet de discussion. Tout comme la question du péché avait commencé l’histoire (
Jn 9:2
), les phari- siens pensaient que Jésus est un pécheur parce qu’Il avait guéri le jour du sabbat (
Jn 9:16
, 24), et ils diffament l’homme guéri comme étant « né tout entier dans le péché » (
Jn 9:34
).
Un curieux renversement se produit. L’aveugle en vint à voir de plus en plus, non seulement physiquement mais spirituellement, à mesure qu’il grandissait dans son appréciation de Jésus et de Sa croyance en Lui. Les pharisiens, en revanche, devenaient de plus en plus aveugles dans leur compréhension, étant d’abord divisés à propos de Jésus (
Jn 9:16
), et puis ne sachant pas d’où Il venait (
Jn 9:29
).
Pendant ce temps, le fait de rapporter ce miracle donne à Jean l’occasion de nous dire qui est Jésus. Le thème du miracle dans Jean 9 recoupe plusieurs autres thèmes de l’Évangile. Jean réaffirme que Jésus est la Lumière du monde (
Jn 9:5
;
Jn 8:12
). L’histoire traite également de l’origine mystérieuse de Jésus. Qui est-Il, d’où vient-Il, quelle est Sa mission? (
Jn 9:12
, 29; voir
Jn 1:14
). La figure de Moïse, qui est référencée dans les récits de miracles précédents, apparait également dans ce chapitre (
Jn 9:28
, 29; voir
Jn 5:45
, 46 et
Jn 6:32
). Enfin, il y a le thème de la réponse de la foule. Certains aiment les ténèbres plutôt que la lumière, tandis que d’autres répondent par la foi (
Jn 9:16-18
, 35-41;
Jn 1:9-16
,
Jn 3:16-21
,
Jn 6:60-71
).
Ce qui est effrayant ici, c’est l’aveuglement spirituel des chefs religieux. Un mendiant jadis aveugle déclara: « Jamais on n’a entendu dire que quelqu’un ait ouvert les yeux d’un aveugle-né. Si cet homme ne venait pas de Dieu, il ne pourrait rien faire » (
Jn 9:32
, 33). Et pourtant, les chefs religieux, les guides spirituels de la nation, ceux qui auraient dû être les premiers à reconnaitre Jésus et à L’accepter comme le Messie, n’arrivaient pas à Le voir, malgré toutes les preuves puissantes. Ou au contraire, ils ne voulaient pas vraiment Le voir. Quel puissant avertissement sur la façon dont nos cœurs peuvent nous tromper!

Lisez
1 Corinthiens 1:26-29
. Comment ce que Paul dit ici s’accorde-t-il avec ce qui s’était passé dans ce le récit de Jean, et comment le même principe s’applique-t-il encore aujourd’hui?
L’Évangile selon Jean
La résurrection de Lazare

Jean 11 est rempli de tristesse – la triste nouvelle de la maladie d’un cher ami (
Jn 11:1-3
); les lamentations à propos de sa mort (
Jn 11:19
, 31, 33); les sœurs se lamentant sur le fait que Lazare ne serait pas mort si Jésus avait été présent (
Jn 11:21
, 32); et les larmes de Jésus Lui-même (
Jn 11:35
).
Mais Jésus avait tardé deux jours avant de commencer Son voyage vers Lazare (
Jn 11:6
), indiquant même qu’Il était heureux de ne pas être parti plus tôt (
Jn 11:14
, 15). Cette action n’était pas due à une quelconque froi- deur de cœur. Il s’agissait plutôt de révéler la gloire de Dieu.
Au moment où nous arrivons à
Jean 11:17-27
, Lazare était mort depuis quatre jours. Au bout de quatre jours, son corps était déjà en train de pour- rir et, comme l’avait dit Marthe: « Seigneur, il sent déjà, car il y a quatre jours qu’il est là » (
Jn 11:39
, LSG). Il ne fait aucun doute que le retard de Jésus n’avait fait que rendre le miracle encore plus étonnant. Ressusciter un cadavre en décomposition? Quelle autre preuve Jésus aurait-Il pu don- ner qu’Il est vraiment Dieu Lui-même? Et, en tant que Dieu, en tant que Celui qui a créé la vie, Jésus avait le pouvoir sur la mort. Ainsi, Jésus pro- fita de cette occasion, celle de la mort de Lazare, pour révéler une vérité cruciale sur Lui-même. « Jésus lui dit: Je suis la résurrection et la vie. Celui qui croit en moi vivra, quand même il serait mort; et quiconque vit et croit en moi ne mourra jamais » (
Jn 11:25
, 26, LSG).
Lisez
Jean 11:38-44
. Qu’avait fait Jésus pour soutenir Son affirmation? ________________________________________________________ ________
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Tout comme Jésus avait démontré, qu’Il est la Lumière du monde (
Jn 8:12
,
Jn 9:5
), en rendant la vue à l’aveugle (
Jn 9:7
), Il ressuscita aussi Lazare d’entre les morts (
Jn 11:43
, 44), démontrant qu’Il est la Résurrection et la Vie (
Jn 11:25
).
Ce miracle, plus que tout autre, indique que Jésus est le Donneur de vie, comme Dieu Lui-même. Il apporte un soutien solide au thème de Jean selon lequel Jésus est le divin Fils de Dieu et que, en croyant, nous pouvons avoir la vie par Lui (
Jn 20:30
, 31). Cependant, au moment où nous arrivons à la fin de cette incroyable histoire (
Jn 11:45-54
), dans laquelle beaucoup de ceux qui avaient vu, crurent (
Jn 11:45
), une ironie puissante mais triste se déploie. Jésus montra qu’Il peut ramener les morts à la vie, et pourtant, ces hommes pensaient qu’ils pouvaient arrêter Ses œuvres en Le tuant. Quel exemple de la faiblesse humaine en contraste avec la sagesse et la puissance de Dieu!
L’Évangile selon Jean
Réflexion avancée:

Lisez Ellen G. White, « La crise de la Galilée », pp. 373-386; « Lazare, sors! », pp. 519-532; et « Complot de prêtres », pp. 533-540, dans Jésus-Christ.
« La vie du Christ, qui donne la vie au monde, se trouve dans sa parole. C’est par sa parole que Jésus guérissait les malades et chassait les démons; par elle il calmait les flots et ramenait les morts à la vie; le peuple attestait que sa parole était accompagnée de puissance. Il faisait entendre la parole de Dieu, la même qui s’était trouvée dans la bouche de tous les prophètes et des instructeurs de l’Ancien Testament. La Bible entière est une manifestation du Christ, et le Sauveur désirait assoir sur la parole la foi de ses disciples. Après qu’ils seraient privés de sa présence visible, la parole devait rester leur source de force. Comme leur Maitre, il leur faudrait vivre “de toute parole qui sort de la bouche de Dieu” (Matthieu 4 :4).
Tout comme notre vie physique est entretenue par les aliments, notre vie spirituelle dépend de la Parole de Dieu. Chaque âme doit recevoir pour son propre compte la vie qui réside dans la Parole de Dieu. De même que pour être nourri chacun doit manger pour son propre compte, de même aussi nous devons recevoir personnellement la parole. Il ne faut pas se contenter de la recevoir par l’intermédiaire d’une autre personne. Il nous faut étudier la Bible avec soin, en demandant à Dieu l’aide du Saint-Esprit, pour que nous puissions comprendre sa parole. » Ellen G. White, Jésus-Christ, p. 381.

Discussion:

Ê Cette semaine, nous avons regardé Jésus nourrir cinq mille per- sonnes, guérir un aveugle de naissance, puis ressusciter Lazare d’entre les morts. Dans chaque cas, Jésus avait donné des preuves puissantes de Sa divinité. Toutefois, ces miracles, aussi étonnants soient-ils, créèrent la division. Certains avaient répondu par la foi, d’autres par le doute. Que nous enseigne cela sur la façon dont, même face à des preuves puissantes, les gens peuvent toujours choisir de rejeter Dieu?
Ë Ces histoires pointent toutes vers Christ comme étant le divin Fils de Dieu. Pourquoi Sa divinité est-elle si importante pour la foi en Jésus en tant que Sauveur?
Ì Relisez
1 Corinthiens 1:26-29
. De quelles manières, à ce 21e siècle, voyons-nous ce même principe à l’œuvre? Quelles sont quelques-unes des « choses folles » auxquelles les chrétiens croient, des choses dont les « sages selon la chair » se moquent? Quelles sont nos croyances qui « confondent les sages » et les « puissants »?