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Allusions, Images et Symboles
2ème Trimestre 2025
11 - Ruth et Esther
Du 7 au 13 juin 2025
samedi après-midi
Lecture de la semaine:
–5; ; ; ; ;
Verset à mémoriser:
« Lorsque le roi vit la reine Esther debout dans la cour, elle trouva grâce à ses yeux; et le roi tendit à Esther le sceptre d’or qu’il tenait à la main. Esther s’approcha, et toucha le bout du sceptre » (, LSG).
Cette semaine, nous continuons à explorer des histoires qui préfigurent les évènements de la fin des temps. Au moyen des évènements et des personnes réels, Dieu nous aide à voir les choses de Son point de vue et à comprendre comment interpréter les prophéties ultérieures, données pour fortifier notre foi. Notre attention se tourne vers deux femmes importantes dont les histoires ont touché le cœur des générations: Ruth et Esther. L’une est une veuve dépossédée qui trouve l’espoir après avoir rencontré le bienveillant Boaz, son rédempteur. Leur mariage est devenu une histoire d’amour favorite des chrétiens en raison de la manière dont il reflète l’amour de Christ pour nous.
L’autre est une jeune fille vivant dans un pays étranger qui prend conscience d’un complot visant à détruire son peuple et se retrouve propulsée sur la scène principale du drame qui se déroule pour les sauver.
En prophétie, bien sûr, une femme est un puissant symbole pour l’église de Dieu, illuminant la manière dont Dieu considère Son peuple. Examinons les récits bibliques de ces deux femmes, dont les circonstances de vie ont été immortalisées dans la Parole de Dieu, et cherchons à tirer des leçons de leurs expériences.
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Verset à mémoriser:
« Lorsque le roi vit la reine Esther debout dans la cour, elle trouva grâce à ses yeux; et le roi tendit à Esther le sceptre d’or qu’il tenait à la main. Esther s’approcha, et toucha le bout du sceptre » (, LSG).
Cette semaine, nous continuons à explorer des histoires qui préfigurent les évènements de la fin des temps. Au moyen des évènements et des personnes réels, Dieu nous aide à voir les choses de Son point de vue et à comprendre comment interpréter les prophéties ultérieures, données pour fortifier notre foi. Notre attention se tourne vers deux femmes importantes dont les histoires ont touché le cœur des générations: Ruth et Esther. L’une est une veuve dépossédée qui trouve l’espoir après avoir rencontré le bienveillant Boaz, son rédempteur. Leur mariage est devenu une histoire d’amour favorite des chrétiens en raison de la manière dont il reflète l’amour de Christ pour nous.
L’autre est une jeune fille vivant dans un pays étranger qui prend conscience d’un complot visant à détruire son peuple et se retrouve propulsée sur la scène principale du drame qui se déroule pour les sauver.
En prophétie, bien sûr, une femme est un puissant symbole pour l’église de Dieu, illuminant la manière dont Dieu considère Son peuple. Examinons les récits bibliques de ces deux femmes, dont les circonstances de vie ont été immortalisées dans la Parole de Dieu, et cherchons à tirer des leçons de leurs expériences.
Famine dans « la maison du pain »
Les critiques de la foi chrétienne ont souvent souligné la dure réalité de vivre dans ce monde comme preuve que: (a) Dieu n’existe pas, ou (b) Il est impuissant à intervenir lorsque des choses mauvaises se produisent, ou (c) Il est indifférent face à notre souffrance. Cependant, de nombreuses histoires de la Bible four- nissent des preuves abondantes que ces hypothèses ne sont pas correctes. Certes, Dieu permet à la race humaine de récolter les conséquences de la rébellion contre Lui. Mais sans violer notre libre arbitre, Il est toujours présent, toujours à l’œuvre dans l’histoire humaine, nous dirigeant toujours vers la résolution ultime des problèmes du péché et de la souffrance.
L’histoire de Ruth en est un exemple.
Lisez –5. Quels étaient les dures épreuves auxquelles Naomi et Ruth ont été confrontées, et qu’est-ce qui les a causées? Comment cela reflète-t-il la situation à laquelle toute l’humanité est confrontée aujourd’hui?
Il y a une ironie dans l’introduction de cette histoire: il y avait une famine qui affectait Bethléhem, une ville dont le nom signifie « maison du pain ». On se rappelle l’abondance du jardin d’Éden, où Dieu avait dit: « Tu pourras manger de tous les arbres du jardin » (, LSG). La race humaine a commencé son existence dans l’abondance, sous les soins d’un Créateur généreux, mais a ensuite échangé son rôle de gardien de la création contre l’esclavage du péché.
« C’est à la sueur de ton visage que tu mangeras du pain, jusqu’à ce que tu retournes dans la terre, d’où tu as été pris » (, LSG), dit le Seigneur.
Comme Naomi, nous avons été dépossédés de l’héritage que Dieu avait initialement prévu pour nous, et nos vies sont devenues une épreuve. Éden a été donné comme un don, mais pas inconditionnellement: les humains étaient libres de se rebeller, mais cela signifiait qu’ils devaient prendre la responsabilité de leur propre bienêtre.
À l’origine, nous étions censés « soumettre » le monde non déchu sous la bénédiction de Dieu, mais maintenant nous devons nous attaquer à un monde déchu. Les êtres humains égoïstes en compétition pour des ressources limitées entrainent beaucoup de chagrin et de souffrance.
La tragédie est indicible: la terre produit encore abondamment, un puissant témoignage de l’amour de Dieu. Mais entre la cupidité humaine et les ravages du péché, le monde semble parfois nous soumettre plus que nous ne le soumet- tons. Un jour, cependant, tout cela prendra fin.
Même après six mille ans de péché et de mort, comment la terre révèle-t-elle encore les merveilles de l’amour et du pouvoir créateur de Dieu?
Les critiques de la foi chrétienne ont souvent souligné la dure réalité de vivre dans ce monde comme preuve que: (a) Dieu n’existe pas, ou (b) Il est impuissant à intervenir lorsque des choses mauvaises se produisent, ou (c) Il est indifférent face à notre souffrance. Cependant, de nombreuses histoires de la Bible four- nissent des preuves abondantes que ces hypothèses ne sont pas correctes. Certes, Dieu permet à la race humaine de récolter les conséquences de la rébellion contre Lui. Mais sans violer notre libre arbitre, Il est toujours présent, toujours à l’œuvre dans l’histoire humaine, nous dirigeant toujours vers la résolution ultime des problèmes du péché et de la souffrance.
L’histoire de Ruth en est un exemple.
Lisez –5. Quels étaient les dures épreuves auxquelles Naomi et Ruth ont été confrontées, et qu’est-ce qui les a causées? Comment cela reflète-t-il la situation à laquelle toute l’humanité est confrontée aujourd’hui?
Il y a une ironie dans l’introduction de cette histoire: il y avait une famine qui affectait Bethléhem, une ville dont le nom signifie « maison du pain ». On se rappelle l’abondance du jardin d’Éden, où Dieu avait dit: « Tu pourras manger de tous les arbres du jardin » (, LSG). La race humaine a commencé son existence dans l’abondance, sous les soins d’un Créateur généreux, mais a ensuite échangé son rôle de gardien de la création contre l’esclavage du péché.
« C’est à la sueur de ton visage que tu mangeras du pain, jusqu’à ce que tu retournes dans la terre, d’où tu as été pris » (, LSG), dit le Seigneur.
Comme Naomi, nous avons été dépossédés de l’héritage que Dieu avait initialement prévu pour nous, et nos vies sont devenues une épreuve. Éden a été donné comme un don, mais pas inconditionnellement: les humains étaient libres de se rebeller, mais cela signifiait qu’ils devaient prendre la responsabilité de leur propre bienêtre.
À l’origine, nous étions censés « soumettre » le monde non déchu sous la bénédiction de Dieu, mais maintenant nous devons nous attaquer à un monde déchu. Les êtres humains égoïstes en compétition pour des ressources limitées entrainent beaucoup de chagrin et de souffrance.
La tragédie est indicible: la terre produit encore abondamment, un puissant témoignage de l’amour de Dieu. Mais entre la cupidité humaine et les ravages du péché, le monde semble parfois nous soumettre plus que nous ne le soumet- tons. Un jour, cependant, tout cela prendra fin.
Même après six mille ans de péché et de mort, comment la terre révèle-t-elle encore les merveilles de l’amour et du pouvoir créateur de Dieu?
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