1 Pourquoi reprendre, Ô Père tendre! Les biens dont m'as couronné? Ce qu'en offrandes Tu redemandes, Pourquoi donc l'avais-Tu donné, Parle, Seigneur, (bis) Tes oeurves sont si grandes, Et mon regard est si borné!
2 Ta voix s'élève, Et, comme un glaive, Elle pénètre dans mon coeur; Et ma propre âme Parle et proclame Le vrai secret de ta rigueur. C'est moi, Seigneur, (bis) Que ton Amour réclame, Quand Tu me reprends mon bonheur.
3 Toujour la même, Que Ta main sème Ou cueille ce qu'Elle à planté, Qu'Elle enrichisse, Qu'Elle apprauvrisse, C'est la Main de la charité, Me réveillant, (bis) D'un coup de Ta justice. Quand je m'endors sur Ta bonté.
4 Le Saint modèle De tout fidèle, Jésus, est; il faut mourir. Mourir, c'est naître, D'un nouvel être C'est jour à jour se revêtir. Heureuse mort, (bis) Qui m'unit à mon Maître, Mort du mal! je Te veux subir.
5 À la prudence, À la science Qui n'a pas sa racine en Toi, À toute vie Qui renie, Je veux mourir, ô Divin Roi! Et ressor (bis) De ma Sainte agonie Vivant et jeune par la foi.
6 Oh! pour me rendre Fidèle et tendre, Mon Père, ne m'épargnne pas : Que, sous ta flamme, Un or sans blâme Se démêle d'un vil amas; Sous ton ciseau, (bis) Divin Sculpteur de l'âme, Que mon bonheur vole en éclats!
7 Tu peux reprendre, Ô Père tendre! Les biens dont m'as couronné. Ce qu'en offrandes Tu redemandes, Je sais pourqoi Tu l'as donné; Et le secret (bis) De Tes oeuvres si grandes S'explique à mon esprit borné.
#452 - Pourquoi reprendre
Chants divers: Deuil
1 Pourquoi reprendre, Ô Père tendre! Les biens dont m'as couronné? Ce qu'en offrandes Tu redemandes, Pourquoi donc l'avais-Tu donné, Parle, Seigneur, (bis) Tes oeurves sont si grandes, Et mon regard est si borné!
2 Ta voix s'élève, Et, comme un glaive, Elle pénètre dans mon coeur; Et ma propre âme Parle et proclame Le vrai secret de ta rigueur. C'est moi, Seigneur, (bis) Que ton Amour réclame, Quand Tu me reprends mon bonheur.
3 Toujour la même, Que Ta main sème Ou cueille ce qu'Elle à planté, Qu'Elle enrichisse, Qu'Elle apprauvrisse, C'est la Main de la charité, Me réveillant, (bis) D'un coup de Ta justice. Quand je m'endors sur Ta bonté.
4 Le Saint modèle De tout fidèle, Jésus, est; il faut mourir. Mourir, c'est naître, D'un nouvel être C'est jour à jour se revêtir. Heureuse mort, (bis) Qui m'unit à mon Maître, Mort du mal! je Te veux subir.
5 À la prudence, À la science Qui n'a pas sa racine en Toi, À toute vie Qui renie, Je veux mourir, ô Divin Roi! Et ressor (bis) De ma Sainte agonie Vivant et jeune par la foi.
6 Oh! pour me rendre Fidèle et tendre, Mon Père, ne m'épargnne pas : Que, sous ta flamme, Un or sans blâme Se démêle d'un vil amas; Sous ton ciseau, (bis) Divin Sculpteur de l'âme, Que mon bonheur vole en éclats!
7 Tu peux reprendre, Ô Père tendre! Les biens dont m'as couronné. Ce qu'en offrandes Tu redemandes, Je sais pourqoi Tu l'as donné; Et le secret (bis) De Tes oeuvres si grandes S'explique à mon esprit borné.