1 Doué du langage des anges, En vain, Seigneur, de tes louanges Je remplirais tout l'univers; Sans amour, ma gloire n'égale Que la gloire de la cymbale Qui d’un vain bruit frappe les airs. (bis)
2 Quand je sonderais les abîmes Des mystères les plus sublimes; Quand je lirais dans l'avenir Sans amour, ma science est vaine, Comme le songe dont à peine Il reste un léger souvenir. (bis)
3 Quand mes mains de mon héritage Aux pauvres feraient le partage, Quand même, pour le nom chrétien Bravant les croix les plus infâmes, Je livrerais mon corps aux flammes, Si je n'aime, je ne suis rien. (bis)
4 Ils cesseront, les saints oracles, Le don des langues, les miracles; La science aura son déclin : L'amour, la charité divine, Éternelle en son origine, Jamais ne connaîtra de fin. (bis)
1 Doué du langage des anges,
En vain, Seigneur, de tes louanges
Je remplirais tout l'univers;
Sans amour, ma gloire n'égale
Que la gloire de la cymbale
Qui d’un vain bruit frappe les airs. (bis)2 Quand je sonderais les abîmes
Des mystères les plus sublimes;
Quand je lirais dans l'avenir
Sans amour, ma science est vaine,
Comme le songe dont à peine
Il reste un léger souvenir. (bis)3 Quand mes mains de mon héritage
Aux pauvres feraient le partage,
Quand même, pour le nom chrétien
Bravant les croix les plus infâmes,
Je livrerais mon corps aux flammes,
Si je n'aime, je ne suis rien. (bis)4 Ils cesseront, les saints oracles,
Le don des langues, les miracles;
La science aura son déclin :
L'amour, la charité divine,
Éternelle en son origine,
Jamais ne connaîtra de fin. (bis)