1 Pourquoi reprendre, Ô Père tendre! Les biens dont m'as couronné? Ce qu'en offrandes Tu redemandes, Pourquoi donc l'avais-Tu donné, Parle, Seigneur, (bis) Tes oeurves sont si grandes, Et mon regard est si borné!
2 Ta voix s'élève, Et, comme un glaive, Elle pénètre dans mon coeur; Et ma propre âme Parle et proclame Le vrai secret de ta rigueur. C'est moi, Seigneur, (bis) Que ton Amour réclame, Quand Tu me reprends mon bonheur.
3 Toujour la même, Que Ta main sème Ou cueille ce qu'Elle à planté, Qu'Elle enrichisse, Qu'Elle apprauvrisse, C'est la Main de la charité, Me réveillant, (bis) D'un coup de Ta justice. Quand je m'endors sur Ta bonté.
4 Le Saint modèle De tout fidèle, Jésus, est; il faut mourir. Mourir, c'est naître, D'un nouvel être C'est jour à jour se revêtir. Heureuse mort, (bis) Qui m'unit à mon Maître, Mort du mal! je Te veux subir.
5 À la prudence, À la science Qui n'a pas sa racine en Toi, À toute vie Qui renie, Je veux mourir, ô Divin Roi! Et ressor (bis) De ma Sainte agonie Vivant et jeune par la foi.
6 Oh! pour me rendre Fidèle et tendre, Mon Père, ne m'épargnne pas : Que, sous ta flamme, Un or sans blâme Se démêle d'un vil amas; Sous ton ciseau, (bis) Divin Sculpteur de l'âme, Que mon bonheur vole en éclats!
7 Tu peux reprendre, Ô Père tendre! Les biens dont m'as couronné. Ce qu'en offrandes Tu redemandes, Je sais pourqoi Tu l'as donné; Et le secret (bis) De Tes oeuvres si grandes S'explique à mon esprit borné.
1 Pourquoi reprendre,
Ô Père tendre!
Les biens dont m'as couronné?
Ce qu'en offrandes
Tu redemandes,
Pourquoi donc l'avais-Tu donné,
Parle, Seigneur, (bis)
Tes oeurves sont si grandes,
Et mon regard est si borné!2 Ta voix s'élève,
Et, comme un glaive,
Elle pénètre dans mon coeur;
Et ma propre âme
Parle et proclame
Le vrai secret de ta rigueur.
C'est moi, Seigneur, (bis)
Que ton Amour réclame,
Quand Tu me reprends mon bonheur.3 Toujour la même,
Que Ta main sème
Ou cueille ce qu'Elle à planté,
Qu'Elle enrichisse,
Qu'Elle apprauvrisse,
C'est la Main de la charité,
Me réveillant, (bis)
D'un coup de Ta justice.
Quand je m'endors sur Ta bonté.4 Le Saint modèle
De tout fidèle,
Jésus, est; il faut mourir.
Mourir, c'est naître,
D'un nouvel être
C'est jour à jour se revêtir.
Heureuse mort, (bis)
Qui m'unit à mon Maître,
Mort du mal! je Te veux subir.5 À la prudence,
À la science
Qui n'a pas sa racine en Toi,
À toute vie
Qui renie,
Je veux mourir, ô Divin Roi!
Et ressor (bis)
De ma Sainte agonie
Vivant et jeune par la foi.6 Oh! pour me rendre
Fidèle et tendre,
Mon Père, ne m'épargnne pas :
Que, sous ta flamme,
Un or sans blâme
Se démêle d'un vil amas;
Sous ton ciseau, (bis)
Divin Sculpteur de l'âme,
Que mon bonheur vole en éclats!7 Tu peux reprendre,
Ô Père tendre!
Les biens dont m'as couronné.
Ce qu'en offrandes
Tu redemandes,
Je sais pourqoi Tu l'as donné;
Et le secret (bis)
De Tes oeuvres si grandes
S'explique à mon esprit borné.