1 Quand la nuit étend ses voiles Et que l'ombre va venir, À vous voir, essaim d'étoiles, Je me sens le coeur frémir. Sous le dôme bleu des nues, Dans le frais jardin des cieux, De mon coeur si bien connues, Je vous suis toujours des yeux. (bis)
2 Alphabet dont Diou compose Ce langage aux lettres d'or, Que la nuit, quand tout repose, Il nous parle et parle encor. Ô splendours que Dieu marie, Pour écrire au ciel obscur, Le plus doux des noms : Patrie, Sur le livre fait d'azur. (bis)